Mercredi 7 février - Campus universitaire de Dijon

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Site de Dijon

Le site de l’Inspé Dijon a accueilli dans l'atrium 231 visiteurs répartis de moitié sur le Dijonnais et hors agglomération Dijonnaise. Les visiteurs hors agglomération venaient d’Auxerre, du Jura, de Besançon, de l’Yonne, de la Haute Marne, de Metz, d’Orléans, de Langres.
Les premiers arrivés étaient présents dés l’ouverture. Le flux des visiteurs a été intense tout au long de la matinée avec un pic à 10h. Le public accueilli a été satisfait des renseignements apportés par les collègues.

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SIte de Mâcon

Une vingtaine de visiteurs ont été accueillis samedi matin sur le site Inspé de Mâcon par des étudiants.tes MEEF et personnels Inspé enthousiastes. Une visite guidée leur a fait découvrir les principaux lieux de formation, BU et foyer étudiant. La matinée s'est conclue par un moment convivial en présence du maire de Mâcon, M. Jean Patrick Courtois et de Mme Florence Battard, déléguée à l'Enseignement Supérieur, professionnel et innovation à la MBA (Mâcon Beaujolais Agglomération).

SIte de Nevers

L’Inspé du site de Nevers a accueilli cette année un peu plus de visiteurs que d’habitude, ce samedi 10 février à l’occasion de la porte ouverte.

Trois conférences de présentation des parcours de licence (la licence EFEC et licence PPPE (parcours préparatoire au professorat des écoles), une conférence de présentation de possibilités de stages à l’étranger, une conférence sur la vie du site ont permis de fournir des informations collectivement. Les visiteurs pouvaient également discuter avec les enseignant.e.s, les personnels administratifs et les étudiant.e.s, venu.e.s en nombre pour expliquer leurs parcours de formation.
Quelques étudiant.e.s intéressées par le Master MEEF nous ont également rendu visite.

L’association étudiante était également présente et active pour informer les visiteurs.

Comme chaque année, les étudiant.e.s se sont chargés de faire visiter les locaux, ce qui a permis de présenter les atouts concernant la vie étudiante de notre établissement.
Les futurs étudiants et parents ont également pu découvrir une résidence de 18 chambres toutes rénovées, une bibliothèque, un amphithéâtre, une salle informatique flambant neuve et un gymnase qui peut accueillir les cours mais aussi le SUAPS (service Universitaire des activités physiques et sportives) qui propose sur site, du badminton, du fitness, du yoga, du step, du volley et aussi du tennis de table à l’attention de tous les étudiants de l’Université de Bourgogne.
Les parents ont été rassurés en découvrant un site de formation accueillant et très attractif.

Nous remercions chaleureusement les étudiant-e-s pour leur participation énergique lors de cette porte ouverte. Leur aide est essentielle au bon déroulement de cette matinée et permet un accueil efficace des visiteurs.
Nous remercions aussi le cuisinier qui a préparé des gâteaux gourmands, ainsi que tous les personnels qui ont accepté d’assurer l’accueil et les visites des locaux, très apprécié des visiteurs qui sont repartis conquis par notre site. Reste à savoir si Parcours sup les enverra à l’Inspé de Nevers.

Nathalie Pinsard
Véronique Gonçalves-Banteaux

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SIte d'Auxerre

Le samedi 10 février 2024 de 9h à 15h en continu, 40 visiteurs sont venus poser des questions. La plupart d’entre sont des icaunais intéressés par une poursuite d’études à Auxerre. Mais une étudiante nivernaise et aussi une orléanaise se sont enquises de la maquette de formation et de la communauté étudiante auxerroise.
Dès 9h, sur fond de café et de viennoiseries, l’équipe de formateurs étaient en place pour accueillir et apporter toutes les réponses possibles. Avec chaleur, chacun avait à cœur de transmettre son engagement dans le métier et de témoigner de son expérience.
Après avoir franchi le frontispice, les étudiants potentiels rencontraient des étudiants de M2 (qu’il convient de remercier comme il se doit pour leur engagement), mais aussi le bureau de l’ACS. Après les premières questions qui permettaient de cibler le projet professionnel et de réaffirmer que l’Inspé d’Auxerre prépare au master MEEF premier degré, chacun était accompagné par un binôme d’étudiants pour une visite commentée du site avec pour fil rouge, les salles spécialisées, ce qui étaient l’occasion d’évoquer quelques spécificités de la formation, au rang desquelles la polyvalence.

Le déjeuner sur place qui réunissait formateurs et étudiants a permis au-delà du moment de convivialité, d’assurer une permanence continue. Ainsi, certains étudiants potentiels après avoir pris des renseignements aux Plaines de l’Yonne, finalisaient leur parcours en venant échanger autour des perspectives offertes par l’Inspé.

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Pour la présentation du master MEEF Sciences Industrielles de l'Ingénieur (SII) les formateurs Inspé Dominique Fichot, François Meunier,Pierre Emmanuel Mauric et Jean Christophe Chardigny - responsable de la formation - ont pris la route. Ils ont été présents au salon Studyrama Dijon, à l'IUT du Creusot, à l'IUT de Dijon et à l'IUT de Chalon SGM, à l'UFR Sciences et Techniques pour une présentation en amphi, aux journées portes ouvertes de l'uB et du site Inspé de Dijon.

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Pour cette première édition, cinq ateliers ont été proposés autour du thème du corps retenu au niveau national.

Le public a répondu présent, intrigué par la proposition énigmatique du contenu. Chaque proposition d’atelier travaillait une atmosphère particulière et un élément corporel au service de la lecture. Ainsi le public venu pour cette première initiative a pu penser respiration, voix, œil, main, oreille et sensibilité.

L’atelier « RESPIRE » était une belle proposition de la part du Conservatoire à Rayonnement Départemental, que l’INSPé accueille pour encore quelques mois. Ce premier atelier corporel centré sur la pratique de la respiration et la détente corporelle ouvrait la déambulation à travers le bâtiment plongé dans la nuit.  Il était animé par Ludivine MOLLAT (professeures de flûte traversière) et Pasquale MOUREY (professeure de chant). Ce temps était d’abord composé d’une partie pratique afin de ressentir et accéder aux informations du corps (tensions, facilités, globalité...).  Les exercices utilisent entre autres les outils de la méthode Danis Bois (gymnastique sensorielle), méthode Feldenkrais et l’Eutonie. La pratique était ensuite suivie d’un moment d’échange qui permettait à chacun de verbaliser son ressenti ainsi que de cerner d’éventuelles problématiques (diagnostic corporel individualisé). Les enseignantes s’adaptaient aux questions et besoins des participants et proposaient des exercices et des solutions pouvant être mis en pratique avec ou sans instrument.
La déambulation collective continuait avec « Les voix de la nuit » animées par Mme Gomes-Dauvissat, formatrice en Lettres. Chacun a pu s’emparer de son outil vocal et gestuel pour relire un extrait du malade imaginaire. Lors de l’étape suivante, le groupe se dissociait pour découvrir des ateliers plus intimistes, dont voici le descriptif proposé par chacun de ces concepteurs-animateurs.

Une lecture à voix haute par Amélie Ressencourt

Lors des Nuits de la lecture à l’Inspé d’Auxerre, la bibliothèque accompagnée d’élèves de Master 1 a proposé une lecture à voix haute répondant à la thématique du corps. Cela a été l’occasion pour nos auditeurs de découvrir l’album « Il était une forme » sous forme d’une lecture épicée. Ce dispositif créé par Véronique Lombard et son association Livralire est l’occasion de faire aimer la lecture sous une autre forme.

Cette histoire, lue en 6 épisodes et sous la forme d’un plateau de 9 cases où placer des dessins géométriques, raconte l’histoire d’un roi et d’une reine aux formes et principes géométriques très stricts. L’ensemble des sujets doivent être faits de lignes droites et d’angles pointus. Cependant, aucun de leurs enfants de réponde à cette morphologie officielle. Tous sont pourvus de rondeurs, mais un jour le miracle attendu arrive avec Triangle, une fille isocèle et parfaite en tous points. Mais catastrophe, elle s’éprend d’un prétendant aux formes incongrues, en la personne de Jules La Bascule…
La fin de l’atelier a permis d’échanger autour du dispositif proposé et sur les impressions de chacun.

EcritureS de la Nuit par Caroline Raulet-Marcel

Dans une atmosphère tamisée propice au déploiement de l’imaginaire, les participants de l’atelier « Écritures de la nuit » se sont laissés emporter dans une exploration poétique de leurs perceptions nocturnes. Sous le signe de l’heure bleue, de l’histoire du soir, du sommeil mais aussi de l’insomnie, d’un rayon de lune, de la voûte étoilée, des songes… le temps s’est partagé entre lecture collective de poèmes et temps d’écriture. Nourris par des contraintes tirées au sort, de jolis textes sont nés, donnant la recette du crépuscule, inventant les sensations d’un noctambule, jouant avec les sons de la nuit, mais aussi des mots… Les écrivains d’un soir se sont également plu à imaginer ce que font les objets la nuit lorsque personne ne les voit… Le plaisir d’écrire a été redoublé par la joie d’entendre chacun dévoiler ses mots et sa sensibilité. Un précieux moment de partage poétique.

Méditer au cœur de la Nuit par Olivier Amiard

Voyage intérieur lors d’un atelier de méditation aux Nuits de la Lecture à l'Inspé d'Auxerre. L’exploration était inscrite dans la thématique du corps de cette année comme une invitation à plonger dans la profondeur de notre être à travers une méditation guidée et l'observation d'une œuvre d'art emblématique "La Muse Endormie" de Constantin Brancusi.
L’atelier débutait par une météo intérieure : un temps d’arrêt pour ressentir les nuances émotionnelles et physiques de notre présent. Chacun a pu prendre conscience de son état intérieur.
Puis, les participants rencontraient "La Muse Endormie" de Brancusi : une muse figée dans le temps, capturant la beauté et la quiétude du sommeil, la maternité et le lien à notre enfant intérieur.  
Enfin, le cœur de l’atelier s’ouvrait sur un temps de pleine conscience au regard de l’œuvre.  Guidés par la sérénité de la muse endormie, les participants ont vécu une méditation guidée, sonorisée et olfactive.  
Chacun a été ensuite invité à partager ses impressions, les liens tissés entre la méditation, l'œuvre et son propre ressenti.

RDV l’an prochain. Chaque participant est reparti, ravi de ses découvertes et de la diversité du programme. Les porteurs d’ateliers, épuisés mais heureux, ont juré de recommencer. L’équipe adresse un clin d’oeil particulier aux étudiants de M1 qui une fois encore ont répondu présent, pour la logistique, comme pour l’animation et la participation.

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Le mardi 6 février dernier, dans le cadre d’un TD qui s’est déroulé à la bibliothèque, les m2 ont pu prendre conscience des implications de la transversalité.  Ils ont tout d’abord vécu un temps de découverte de ces livres-objets que sont les Pop-up, notamment à travers des titres tels que :

Les étudiants ont ensuite pu s’approprier les premières techniques qui permettent de faire surgir des formes narratives dans un espace 3D.
En effet, Amélie Ressencourt avait œuvré en amont avec Pascal Bochaton, pour que ce cours de français offre une tension didactique théorie/pratique toute particulière.
Ainsi, en 2h, les étudiants ont découvert, lu. fabriqué et conçu.

Ils sont maintenant à même de réfléchir un projet POP-UP dans leur classe à venir.

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Infos pratiques

Vos BU Inspé seront fermées lors de la deuxième semaine des vacances scolaires d’hiver et réouvriront le lundi 4 mars. Pour plus de précisions, notamment sur les horaires d’ouverture durant la première semaine des vacances scolaires, veillez consulter cette page du portail des BU.
Toute l’équipe des BU Inspé vous souhaitent d’excellentes vacances d’hiver.

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Focus sur la science ouverte

Peut-on rendre un document numérique « accessible » à tous de la même manière qu’un bâtiment peut être rendu accessible aux personnes en situation de handicap moteur ?
La réponse est positive pour le Ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche qui a publié fin 2023, d’abord à l’attention des étudiant-e-s, ce document : Mémoires, thèses, publications : SOYONS ACCESSIBLES ! Guide pratique pour les productions scientifiques. Dans un contexte où « une politique active en matière de science ouverte est à l’œuvre dans l’enseignement supérieur afin de rendre accessibles à tous les résultats de la recherche, qu’il s’agisse des publications ou des données », ce guide pratique commence par définir l’ « accessibilité numérique » :

 « [elle] a pour but de lever les obstacles susceptibles d’empêcher une personne, quels que soient son environnement et ses aptitudes, de naviguer, consulter et interagir avec des contenus numériques, en toute autonomie. Il peut s’agir d’obstacles liés à une mise en page, un format ou une incompatibilité de logiciels entre une synthèse vocale et un document écrit, par exemple.
L’accessibilité nous concerne tous : une table des matières navigable permet ainsi au lecteur de s’orienter rapidement dans un document.
Une ressource accessible est une ressource qui permet un usage multiple et répond aux quatre principes fondamentaux de l’accessibilité numérique : perceptibilité, compréhensibilité, utilisabilité et robustesse.
Les contenus académiques comme les mémoires de master ou les thèses participent à la construction des savoirs scientifiques : ils doivent être mobilisables par tout citoyen, au même moment et sans nécessiter d’adaptation particulière, selon le principe de conception universelle. »

Si vous souhaitez savoir comment rendre un document « nativement accessible », ce guide est fait pour vous !

Anaïs Sautereau, BU InspéÉ Mâcon, coordinatrice du dispositif de communication externe des BU Inspé

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Exposition « Les albums sans texte, déclencheurs de paroles » 

A la BU Inspé Auxerre du 6 février au 12 mars

Un album sans texte, ou album muet, est un livre dont le sens ou l’histoire sont uniquement portés par une suite d’images qui ne sont pas lues de la même manière par tous les enfants.
L'album sans texte peut être compris par les locuteurs de toutes les langues du monde, son langage étant universel.
Les albums sans texte permettent d’aborder une grande diversité de sujets. Ainsi, nous pouvons rencontrer des personnages de contes, des histoires à l’humour décapant, des albums recélant poésie et onirisme…
Contrairement à ce que l’on imagine, l’album sans texte n’est pas à réserver aux non lecteurs. En effet, certains ont une construction graphique et un enchaînement entre les différentes images qui peut être complexe. Il demande à être un bon lecteur d’images. De même, certains sujets abordés sont lourds de sens comme le démontre l’album de Thierry Dedieu (1955-....).
Pour découvrir la particularité de ces albums et la richesse littéraire qu’ils apportent, venez découvrir notre sélection, dont voici un extrait :

·         Dedieu, T. (2014). 14-18 : une minute de silence à nos arrières grands-pères courageux. Seuil.

·         Lee, S. (2009). La vague. Kaleidoscope.

·         Princesse Camcam (2016). Le lapin de neige. Les albums Casterman.

·         Watanabe, I. (2020). Migrants. La joie de lire.

·         The, T. K. (2006). La course au gâteau. Autrement

·         Rodriguez, B. (2005). Le voleur de poules. Autrement

·         Soutif, F. (2011). Tralalère. Kaleidoscope

Ressources théoriques en ligne :

·         Van der Linden, S. (2014). L’album muet.

·         Tornincasa, D. (2019) L’album sans texte (1/2). Au-delà des langues : la bibliothèque jeunesse de Lampedusa.

·         Ducrot,V. (2014). L’album muet : une esquisse de textes dissimulés. Le Français aujourd’hui, 184, 66-74.

Laurence Molimard & Amélie Ressencourt, BU Inspé Auxerre

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« Des contes aux sciences, pourquoi pas ELLES ? »

A la BU Inspé Dijon jusqu’au 16 février

En lien avec la Journée internationale des femmes et filles de sciences ce 11 février 2024, à l’initiative des Nations Unies, relayée à l’uB par une Journée de sensibilisation organisée le 13 février par le Comité de Pilotage Égalité et le Service PS Qualité de Vie au travail (PS QVT), la BU INSPÉ Dijon pose la question de la représentativité des filles et des femmes dans une perspective large, de la fiction… à la réalité du monde scientifique, en passant bien sûr par l’école !

Le titre de l’exposition à la bibliothèque est un clin d’œil à un scénario pédagogique, disponible sur Eduscol, en sciences (4e), visant la production de posters sur des femmes scientifiques. C’est une nouvelle fois le principe de l’égalité filles et garçons qui est au centre de cette sélection documentaire, dans la ligne de ce que promeut fondamentalement le Ministère de l’Éducation nationale. Cette sélection illustre et donne à mieux comprendre la place des (jeunes) filles et des femmes dans les arts, les sciences et la société.

Focus sur 3 documents :
•    Péju, P. (2023). Métamorphoses de la jeune fille : oppression, échappées et émancipation à travers les siècles et les histoires. Robert Laffont.
Pierre Péju, romancier et critique, analyse la naïveté originelle de certaines (petites) filles des contes, s’émancipant au fil des récits et des œuvres nouvelles de ce genre littéraire, jusqu’aux réécritures contemporaines. Ce livre est évoqué dans l’émission Avec Philosophie (France Culture) : Le personnage de la jeune fille : désirs et mythes.
•    Dufour, C. (2015). Guide des métiers pour les petites filles qui ne veulent pas finir princesses. Librairie générale française.
Avec ce titre audacieux… et surtout plein d’humour, voici un guide très bien documenté sur des parcours professionnels féminins très variés, certes surprenants, mais aussi prometteurs d’une ouverture à la créativité et à l’égalité ! La 4e de couverture signale ainsi des « portraits de femmes flamboyantes d’hier à aujourd’hui
•    Lafosse-Marin, M.-O. & Laguës, M. (2007). Dessine-moi un scientifique. Belin.
En 2007, l’équipe de la Main à la Pâte avait été partie prenante de ce projet de dessins d’enfants sur le monde scientifique. Et force est de reconnaître, avec plaisir, que les représentations ont évolué… Selon une étude de 2018 (source) : jusqu’à l’âge de 5-6 ans, les enfants dessinent aussi bien des scientifiques hommes que des femmes. La tendance s’inverse toutefois au secondaire : 75 % des filles et jusqu'à 98% des garçons de 16 ans dessinent alors un homme.

L'équipe BU Inspé Dijon

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Mise à l’honneur de la collection Pont des arts

A la BU Inspé Mâcon jusqu’au 23 février
La grisaille de l’hiver vous pèse ? Faites le plein de couleurs en explorant à la BU Inspé Mâcon une sélection issue de la collection Pont des arts, publiée aux éditions de l’Elan vert. Il s’agit albums jeunesse aux couleurs vives qui racontent « des histoires pour découvrir des œuvres d’art ». A travers une fiction, chaque album prend la main du lecteur, petit ou grand, pour finalement lui faire découvrir une œuvre d'art (tous les arts sont représentés : peinture, sculpture, architecture...). Celle-ci est dévoilée et présentée dans les dernières pages. Grâce au talent des illustrateurs et des auteurs, la signature visuelle de chaque album met en valeur le style particulier des œuvres ainsi présentées. L’album devient l’écrin de l’œuvre.
Empruntable dans les 4 BU Inspé, la collection est presque au complet à la BU Inspé Mâcon, qui, dans le cadre de sa participation au plan de conservation partagée jeunesse impliquant les bibliothèques de Bourgogne-Franche-Comté l’amenant à conserver des éditeurs de livres jeunesse sur l’histoire de l’art, développe peu à peu une collection spécialisée dans ce domaine. Pont des arts y occupe une place privilégiée.
Bonne découverte !

Anaïs Sautereau, BU Inspé Mâcon

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Une sélection sur les contes de fées 

A la BU INSPÉ Nevers du 1er au 23 février
Le 26 février, c’est la journée internationale du conte de fées ! A la BU INSPÉ Nevers, on s’est laissée inspirer pour vous proposer une sélection thématique sur le sujet.
Des contes classiques aux réécritures, des adaptations aux kamishibaï (théâtre japonais en images), sans oublier les analyses et ouvrages de didactique et pédagogie, il y en aura pour tous les goûts afin d'explorer l'utilisation des contes en classe.
C’est aussi l’occasion de redécouvrir des classiques dans leur version intégrale ou encore lire un Petit Chaperon Rouge rebelle grâce à Red Lili !
Les monitrices de la BU ont préparé des suspensions accrochées au plafond… fées, sirènes, château et autres dragons sont à trouver dans toute la BU !

Sélection :

·        Cocteau, J., Leprince de Beaumont, J.-M., & Gauthier, A. (1988). La Belle et la bête : conte. Ed. Ipomée.

·         Gourévitch, J.-P. (2016). Explorer et enseigner les contes de fées cycle 3, CM1, CM2, 6e. Belin.

·         Hétier, R., Kohout-Diaz, M., & Hatchuel, F. (2017). Créer un espace éducatif avec les contes merveilleux : comment penser le conflit. Chronique sociale.

·         Ivanovitch-Lair, A., Caldirac, A., & Keraval, G. (2007). Le dragon de Cracovie : un conte polonais. Père Castor-Flammarion.

·         Mainguy, I. (2020). 3 minutes pour comprendre la signification et le symbolisme des contes merveilleux. Le Courrier du livre.

·         Perrault, C. (2003). Douce et Barbe bleue. Gallimard jeunesse.

·         Vande Velde, V. (2022). La princesse qui ne croyait pas aux contes de fées et le prince amoureux. Bayard jeunesse

Bonnes lectures ! Maëva Dupouy, BU INSPÉ Nevers

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